l'òme de març

à
VABRES L'ABBAYE

10 Février Salle des Fêtes

l'homme de Mars

L'homme de Mars d'abord sollicité pour une représentation le 5 janvier au Petit Carré d'Art (PCA) s'est finalement retrouvé écarté de la programmation des "féeries" de Noël saint-affricaines. C'est bien triste. Nous avions tout préparé ...  et puis non ... nous ne sommes pas dans "l'esprit" de Noël.

Evidence qui pourtant nous avait échappé, vu que nous sommes plutôt spécialisé Mars et que Noël c'est en Décembre. 

Un spectacle qu’il est pas du tout, mais alors pas du tout, du tout, dans l’esprit de Noël. Le Xmas Spirit qui fait encore défaut aux rustres que nous sommes et qui s'obstinent à regarder leur passé et à vénérer leur vieille culture. Á parler leur patois en public ! Insanes habitudes !

Es fòra nadalenc. Esprit de Noël compris selon les critères communaux officiels. Et pourtant, sacré dieu, on y retrouve un ecclésiastique, des chants religieux et même des cantiques et des psaumes, une évocation émouvante et empreinte d’esprit apostolique et romain de la vie et des œuvres du cardinal Marty, de l’abbé Bessou, du chanoine Coste, de l'abbé Hermet, de monseigneur Affre et même en grattant un peu l’écorce du séquoia de Noël, le fantôme d’Emilie de Rodat, de Saint Jean-Baptiste de la Salle au nom si suave et si beau ! L’esprit du regretté curé de Rennes le château ; Béranger Saunières héros du Da Vinci code ! La voix authentique et véritable d'Emma Calvé !

Mais tout fout le camp. 

On imagine aujourd’hui des pères Noël loin de la crèche, fòra grepials, en tyrolienne, en pole dance, sur patin à glace sirotant du coca-cola.

Nous nous retrouverons à Vabres, cité épiscopale, le 10 février à la salle des fêtes pour une représentation de L'òme de Març (l'homme de Mars) dans une version expurgée qui ne heurtera ni les dogmes ni les langues locales. 

Qu'on se le dise !

je puis évoquer ces sujets là au catéchisme ...

j'ai postulé, en candidature spontanée, au poste de ...

li as perfusat dins la vena basilica accessòria ...

tu roucoules comme un piot déplumé ...

qu'es aquela trèva que totjorn me sèc ...

sous quelle forme administre-t-on le produit ..;

 

 L'òme de març

L'homme de Mars

BROQUIÈS Vendredi 28 juillet Salle des Fêtes 

 

le chemin a été long et tortueux ... mais enfin nous sommes au bout de ce projet. 

 

à méditer : 

« Le plaisir de l’acteur n’est-il pas de vivre plus grand, plus gros ? Si je fais du théâtre, c’est parce que je souhaite une réalité augmentée. Le théâtre est une loupe. Il décuple la réalité. Les personnages y sont toujours « plus ». Plus amoureux, plus lâches, plus… monstrueux. Le verbe latin "monstrare" signifie "faire que quelqu’un voie quelque chose". Tout acteur est donc un monstre. »

Thomas Jolly

la véritable et véridique histoire certifiée 
qui a inspiré l'auteur 

Dans son livre de 1958 sur les soucoupes de 1954 en France, Aimé Michel avait rapporté que vers 22:00, six habitants du village de Montbazens, dans l'Aveyron, travaillaient dans le garage de Mr. Carrière, garagiste, quand ce dernier a demandé à son fils Bernard, 17 ans, de lui passer un certain outil. Le garçon a dû passer près d'une fenêtre et là, il a vu que la nuit était éclairée par une lueur très forte dans le pré voisin.

Le garçon a crié qu'il y avait le feu à la maison du voisin, Mr. Gimeno, et les six hommes, Mr. Carrière, son fils, Mr. Gardelle, un fermier, M. Nevoltry, fermier, Mr. Gineste, cordonnier, et Mr. Rosière, retraité, "tous hommes de bon sens, de nerfs solides et peu enclins à la soucoupomanie" se sont tous précipités dehors.

Les six hommes ont alors découvert qu'un objet avait atterri dans le pré derrière la maison de M. Gimeno. L'objet était rond, d'environ 4 mètres de diamètre, et irradiait une lueur rouge puissante. Les témoins se sont arrêtés à sa vue, hésitants.

Un des témoins, M. Gardelle, s'est décidé à aller voir de plus près, mais dès qu'il eut fait quelques pas, l'engin a décollé sans le moindre bruit, à une vitesse énorme, et a disparu. Les témoins ont vu que M. Gardelle avait portés sa main à son front et avait commencé à chanceler, ainsi ils ont couru pour l'aider. Il suffoquait et était commotionné. Quand il a récupéré, les six hommes ont marché vers l'endroit de l'atterrissage, mais n'ont trouvé aucune trace visible. L'événement entier a duré environ deux minutes.

Le groupe d'enquête LDLN ("Lumières Dans La Nuit") de l'Aveyron a enquêté sur cette affaire dans les années 1970: le cas a bien eu lieu le 11 octobre 1954, à Montbazens, il avait été publié à l'époque par des journaux, notamment Le Parisien Libéré et La Dépêche de Toulouse du 13 octobre 1954, Paris-Presse du 14 octobre 1954, sous la forme que les enquêteurs LDLN résument ainsi:

Un engin rond de 4 mètres de diamètre a atterrit dans un pré, dégageant une lumière rouge puissante, puis a décollé avec une accélération formidable. A ce moment-là, les témoins, MM. Carrière et son fils, Mr. Gineste, cordonnier, et deux autres personnes se sont approchées et Mr. Gardelle "ressentit une décharge électrique."